Savourez une viande d’exception avec la Blonde d’Aquitaine…
Exigeant et fin gastronome ? Découvrez la viande de Blonde d’Aquitaine, une viande de qualité supérieure plébiscitée par les connaisseurs.
La blonde d’Aquitaine
La blonde d’Aquitaine est une race bovine allaitante de grande taille, d’une couleur unie allant selon les individus du froment au blanc crème, aux muqueuses roses.
Elle est issue de la fusion en 1962 de trois rameaux bovins du Sud-Ouest de la France.
D’un fort développement musculaire, elle est réputée pour ses qualités bouchères, avec une forte proportion de viande, tendre et peu grasse, par rapport au poids total.
Sa docilité, sa facilité de vêlage, le prix élevé de vente pour l’abattage et une vitesse de croissance élevée (en quantité de viande produite) ont conduit ses effectifs à plus de 450.000 têtes en France en 2000. L’effectif en France est de 569.000 têtes en 2014, pour un total d’environ 2 millions de têtes dans le monde1. C’est la troisième race bovine allaitante française en termes d’effectifs, prenant une place prépondérante dans tout le sud-ouest de la France et les Pays de la Loire. Elle gagne maintenant du terrain dans tout le nord-ouest de la France et est implantée dans une trentaine de pays, dont plus particulièrement le Canada, les États-Unis, l’Australie et la Suède
La limousine
La limousine est une race bovine française rustique originaire du Limousin, qui est principalement vouée à la production de viande.
C’est une vache de couleur marron, plus claire sous le ventre et autour des yeux et du mufle, avec des muqueuses rose clair. Elle est réputée pour sa rusticité, ses qualités maternelles et la qualité gustative de sa viande, qui peut être valorisée sous trois labels rouges différents. C’est également une race très utilisée en croisements avec des races locales ou laitières pour améliorer la conformation de leurs veaux.
Depuis la fin du XVII siècle, la race a eu une histoire tourmentée et aurait même pu disparaître, au même titre que de nombreuses autres races rustiques, mais les efforts de sélection des éleveurs ont conduit à la création du herd-book en 1886 dans un premier temps, puis à l’essor continu de la race depuis les années 1960. Elle s’est en effet beaucoup développée depuis cette époque, dans plus de 70 pays à travers le monde comme en France, où elle est aujourd’hui la seconde race bovine allaitante française en termes d’effectifs avec environ 900 000 vaches reproductrices.
Les éleveurs de limousines prêtent depuis déjà longtemps attention à l’amélioration de leur race par la sélection. Ces efforts se concrétisent aujourd’hui par un schéma de sélection performant qui a permis, conjointement avec les améliorations dans l’alimentation et la conduite des animaux, de faire de la limousine une race bouchère essentielle dans le monde de l’élevage. Ce succès l’a également conduite à devenir un symbole fort de l’identité limousine.
Agneau du Poitou-Charentes
L’agneau du Poitou-Charentes est une appellation agricole, protégée par le signe officiel européen d’origine IGP (Indication géographique protégée), désignant une carcasse bouchère d’agneau impérativement né, élevé et abattu dans le nord de la région Nouvelle-Aquitaine (Charente, Charente-Maritime, Deux-Sèvres et Vienne) et étendue aux cantons limitrophes.
Les premières traces écrites prouvant l’existence de l’agneau dans le Centre Ouest de la France remontent au Moyen Âge 1. Au cours du XIV siècle, un manuel traitant du métier de berger et de l’élevage des brebis est publié. Élevé dans un premier temps pour sa production de laine, il est au cours des siècles, de plus en plus apprécié pour sa chair.
Dès le XIX siècle, la répartition géographique des ovins a connu de profondes modifications avec l’abandon progressif de l’association mouton-céréales dans les plaines labourables du Bassin parisien, du nord ou du sud-ouest et le renforcement des foyers moutonniers au sud de la Loire, dans des régions difficiles à mettre en valeur où l’intensification agricole (surtout céréalière) n’est pas rentable.
Les régions Poitou-Charentes et Limousin rassemblent plus de 1,7 million de brebis soit 22 % du cheptel national dans les années 1990.
Volailles de Janzé
La volaille de Janzé est une volaille fermière d’appellation Label Rouge, élevée en plein air1.
Les volailles de Janzé possèdent une Indication Géographique Protégée grâce à une politique de maintien de la production au niveau local. Pour estampiller une volaille « Janzé », cette dernière doit être élevée par un producteur membre de la coopérative Janzé et habitant en Ille-et-Vilaine ou dans l’un de ses cantons voisins. La coopérative des Fermiers de Janzé regroupait en 2015 170 producteurs, installés majoritairement dans le sud est du département d’Ille et Vilaine, ce qui représente environ 350 poulaillers. 75 % des éleveurs se situent dans un rayon de 15 kilomètres autour de Janzé
Chapon fermier
La totalité des volailles produites sont issues de souches à croissance lente. Le poulet fermier label rouge est un poulet élevé en plein air pendant 81 jours nourri aux céréales, disponible toute l’année, il est élevé à une densité de démarrage de 11 poulets/m². Le chapon fermier label rouge est un mâle castré, élevé en plein air pendant 150 jours minimum et fini[Mal dit] au lait entier[réf. nécessaire] pendant les 3 dernières semaines d’élevage. Il est également nourri aux céréales mais disponible uniquement en fin d’année. La dinde fermière est élevée durant 140 jours et disponible seulement en fin d’année. La pintade fermière est élevée pendant 94 jours minimum et disponible toute l’année.
Les volailles sont élevées dans des bâtiments fixes d’une surface de 400 m² à ventilation naturelle statique. Chaque bâtiment dispose un parc à volaille arboré et clos d’une surface d’environ 1 hectare afin que les volailles puissent sortir en plein air. Ces dernières sortent par les trappes disposées sur le côté du poulailler.
Depuis 2009, la coopérative des Fermiers de Janzé garantit une alimentation sans OGM (<0,9%) et une alimentation à base de céréales.
Désormais depuis 2018, la coopérative de Janzé produit des poulets bio élevés en plein air pendant 81 jours minimum.
La filière porcine en France
Le saviez-vous ? Le porc est la viande préférée des français, avec plus de 33kg consommés par habitant et par an.
Pour satisfaire chaque gourmet qui sommeille en nous, ils sont en France plus de 100 000 professionnels. Tous tournés vers un objectif : vous offrir une viande de porc et des produits de charcuterie de qualité, sains et savoureux.
Origine des produits
Afin d’offrir aux consommateurs une information transparente, le secteur porcin a pris l’initiative dès 2010 de mettre en place collectivement et volontairement l’étiquetage de l’origine de la viande, consommée sous forme de viande fraiche ou utilisée pour la fabrication de produits de charcuterie.
A partir du 1er janvier 2017, l’Etat français met en place une expérimentation de 2 ans pour rendre obligatoire l’indication de l’origine de la viande et du lait dans les produits transformés.
Un accord interprofessionnel volontaire sur l’étiquetage de l’origine
En 2010, les professionnels de la filière porcine ont pris l’initiative d’un accord sur l’étiquetage de l’origine de la viande porcine et de tout autre produit transformé contenant plus de 50% de porc, qu’elle soit française ou non. Destinée à informer les consommateurs, cette mesure a été largement suivie par les acteurs du secteur. En 2015, 87% des volumes vendus de viandes fraîches de porc, 84% du jambon cuit, 78% des saucisses fraîches, 95% des lardons et 51% du jambon sec mentionnaient leur provenance¹.
Le Porc Français : le signe de l’origine française
Le logo Le Porc Français garantit l’origine française des viandes de porcs, de porcelets, de coches et des produits qui en sont issus. Il signifie que les animaux sont nés, élevés, abattus et transformés en France. Le logo Le Porc Français a été reconnu par les pouvoirs publics comme une modalité d’application de l’expérimentation de l’indication de l’origine, reconnaissant ainsi le sérieux de cette démarche interprofessionnelle.
De même, les animaux candidats sont choisis selon des critères très stricts.
Une sélection très stricte des animaux
Un élevage dans le respect de la tradition
Une alimentation équilibrés et contrôlée
Un développement des animaux au rythme de la nature
Des animaux heureux, soignés avec passion
Des professionnels qui s’engagent sur la qualité
Des contrôles à chaque étape
Une traçabilité assurée
Chez nos bouchers, le conseil d’experts qui se battent pour la qualité.